claude 2
Bonjour les amis !

mes coups de coeur,

                      mes états d'âme du



28 décembre 2006

"Santé" ? ... Sourire ! Les précédents "coups de coeurs et états d'âme"

"Surtout la santé" !

Ces mots, à coup sûr, nous allons les entendre dans les moments d'après les 12 coups de minuit sonnés marquant le changement d'année. Et sûrement plus encore le lendemain et les jours suivants. Peut-être même qu'on sera amené à les prononcer, ces mots, parce que parfois, il faut bien dire quelque chose, et que faute de mieux …

Bon, d'accord, la santé, c'est important, c'est sûr. Mais quand on n'a plus que cela à se souhaiter, n'est-ce pas l'indice que ça ne tourne décidément plus bien rond, par chez nous ? Pourtant, quand on voit ce qui s'annonce, on devrait en avoir des choses, et des belles, à se souhaiter ! Mais on n'y croit plus, n'est-ce pas, alors, à quoi bon, hein ? Reste la santé.

2007 ? On pourrait se la souhaiter
pas trop Sarko - Ségalo - Ségola,
et encore moins militaro - sécurito - mégalo - busho - irakoci – iracolla
ni trop déréglo - climatiquo - pollutio - épidémiquo - angoissée

et même pas plus machin chose, ni pas moins machin chouette, … mais ça nous avancera à quoi ? T'as raison, Bill : la santé !


Bon, à tout hasard, si ça vous dit, on pourrait quand même, juste comme ça, pour essayer : "accrocher un sourire à sa fenêtre".

Mais attention, pas un sourire bidon estampillé bonheur.com ou autres foutaises de nos spécialistes en communication. Non, un vrai, qui ouvre, qui accueille, qui invite, qui dit juste ce qu'il a envie de dire et pas plus, qui vient du profond de soi, de là où ça remue des fois, de là où ça fait la différence entre la vie qui vit et la vie qui ne vit pas, qui ne vit plus. 
On essaie ?

Parce que ça, on ne l'a pas fait, en 2006 ! Et si on le faisait, on pourrait déjà se reconnaître. Et si ces quelques sourires venaient à se multiplier, par contagion (ben quoi, y a pas que la grippe aviaire, dans la vie, non ?), ça en ferait bien plus que quelques-uns, et que les trop crispés du zygomatique, les trop étroits du trou de balle, les trop obnubilés de la gâchette, les trop fanatisés du pognon, les trop ridés d'avant l'âge, peut-être qu'ils en viendraient à se décrisper, se désétroiter (tais-toi, De Robien, j'ai appris avec la méthode syllabique, moi !), se désobnubiler, se défanatiser, se dérider, etc … et ça pourrait peut-être changer pas mal de choses, non ?

Faut pas rêver ?

Si !

Bonne année à toutes et à tous, et avec le sourire !